Katsuki, un jour tu comprendras le sens... E.C

Perché sur le toit de la maison. Une vie respectacle, mais trop stricte. Tes yeux attristés observent le sol, qui t'en donne des frissons... L'eau est abondante dans les ruelles. Cette eau qui glissait lentement sur tes joues, lorsque le ciel le décidait. Arrachait quelques larmes à tes yeux, de tristesse. Sur le toit, tu ne pouvais que décrire le lieu... Calme et maudit. Le ciel gris et les nuages remplit d'eaux, ne pouvait que serrer ton faible coeur qui battait à tout rompre. T'écroulant contre le toit, qui était droit. Tu pleurais contre le désespoir offert à ta vie, une peine innexpliquable. Tes vêtements trempés, tu grelottais de froid. Mais, tu ne voulais pas abandonner contre cette souffrance, que le froid et la peine te donnait pour encore t'anéantir plus. Ta mère qui attendit tes pleures à la cuisine, qui se trouvait proche d'où tu étais situé sur le toit. Montait chaque marche, pour arriver vers le toit... Ouvrant la portière qui menait au toit, s'ouvrant seulement par la clef d'or de ta famille... qui s'offrait de génération en génération. Tes yeux devenant rouge de pleure, ta mère t'observait. Tu étais couché sur le ventre la tête contre le toit, ton faible son de pleure. On pouvait l'entendre en tendant l'oreille, finalement tu sentis une force te soulever. Trop faible pour relever la tête, tu te sentis dirigé vers la portière pour rentrer dans la maison. Mais, tu perdis connaissance d'un moment à l'autre... ceci allait arrivé.

« Katsuki, réveille toi... »
« Maman ? »

Prononças-tu d'une faible voix, quelque chose te fit tousser... tu avais attrapé un rhume. Tu sentais ton corps faible, te retenir contre le lit. Tu levas les yeux vers ta droite et observait ta mère, qui était assise proche d'une table, elle retenait ta tête avec sa main pour caresser ta joue presque blanche. Tu te sentais plus fatigué que les autres jours. Tu pouvais entendre la pluie qui était plus forte que ce matin ? Quel jour était-il ? Un orage te fit sursauter. Ta mère te souriait gentiment, mais toi... tu restais sans expression. Ton souffle se perdait à quelques instants, ta soeur aînée observait pas le coin de la porte. Aussitôt que tu la remarquas elle entrait déjà dans la chambre, elle fit un regard qui t'observait bizarrement, tu essayais de te relever... mais ta mère t'en empêchait. Dès que tu avais touché le sol avec tes pieds, tu te sentais faible et prêt à tomber. Mieux rester au lit, ta mère avait raison. Tu regardas d'un regard soupçonneux ta soeur s'asseoir au pied de ton lit. Et la voix de ta mère qui trancha le silence en deux.

« Seira, occupe toi de ton frère. Je vais devoir allez chercher quelques provisions.»

Elle fit oui de la tête, puisque tu l'observais en même temps. Dès que ta mère franchit la porte de son pleins gré. Tu bondis hors de ton lit, mais une main te poussa au niveau du torse et tu retombas lourdement sur ce lit. Bon sang que t'arrivait-il ? Te demandas-tu. Finalement, tu t'endormis après un instant de silence et d'inquiétude. Aucun bruit, aucune image... Seulement le noir dans ton rêve. Puis tu te sentis reporté vers la réalitée. Personne dans la chambre, seulement les pas de ta soeur dans sa chambre. Tu essayas de te lever avec le peu de force qui te restait, mais tu dûs te tenir à ce qui se présentait devant toi. Ton bureau et tu parvenus à te figer devant le miroir. Ton visage était blême, la seule couleur qui en donnait du beau teint... Était tes yeux. Tu touchais ton visage, comme si tu ne te reconnaissais pas. Finalement en faisant un pas de plus, tes pieds ne pouvant pas soutenir ton corps faible, te fit écraser contre le sol. Un bruit étourdissant se fit entendre et ta soeur courant jusqu'à ta chambre te retrouva contre le sol. Et t'aida à te relever et t'amenner à ton lit.

« Katsuki, tu es trop faible. Reste au lit comme à dit maman tantôt, tu dois te reposer... Demain tu iras sûrement mieux.»

Et ce fût vrai, tu t'endormis vers huit heures du soir. Tu ne t'étais pas autant amusé aujourd'hui, ce n'est pas facile de rester au lit à dix ans sans rien faire. C'est ennuyant te disais-tu avant de tomber dans un long sommeil, qui te redonnait force pur. Le matin était loin, tu pouvais dormir dans l'obscurité de la chambre. Les monstres n'existaient pas dans ta tête, les vrais monstres étaient les humains qui faisaient le mal. Tes grand-parents t'avaient expliqué le merveilleux vrai paysage qu'occupait le royaume, avant le règne de cette reine sans pitié qu'occupait le peuple du mal. Une tristesse innexpliqué pour les villageois sans défense qu'arppentais le bout du mauvais peuple. Puis tu te réveillas d'un long silence, un baillement se fit entendre. Tu te sentais un peu plus mieux. Tu pouvais maintenant te tenir debout, mais tu devais t'aider aux coins des meubles pour franchir des salles. Ta famille était riche, mais pour toi tu n'y accordais aucune chance. Tu avais perdu ton père ce qui t'avait fait pleuré des larmes de vengeance pour ceux qui l'avait battu. Ton père avait été un chevalier remarquable auparavant, tu lui avais promis dans tes pensées de faire comme lui. Suivre ses pistes, jusqu'au bout de ta vie. Contre les blessures profondres, qu'occupait tes pensées... et ton corps. Tu atteindis le salon principal. Tu vint t'asseoirs sur l'un des fauteuils en cuir. Finalement quelqu'un attendit tes pieds fracassés le sol.

« Jeune homme, avez vous bien dormis ? Désirez vous quelques choses à boire et à manger ?»
« Non merci... je...»

Finalement tu t'avais tait aussitôt que ta mère t'avait apperçu et t'avait fait un sourire. Avant de demander un café à la servante. Arminta, était la serveuse de la maison. Tu l'appréciais beaucoup, elle était gentille et appréciable avec toi, elle répondait à toute tes questions et t'aidaient à prendre le bon côté des choses. Pour toi, c'était une amie. Il était difficile à y croire, mais tu ne la voyais pas comme une servante de la maison. Tu n'aimais pas voir la servante faire les choses à la place de ta mère, mais tu avais dû t'y habituer avec le temps. Mais, après quelques années tu avais atteint tes 18 ans. Ta mère était fière de toi, tu avais appris à te battre avec des épées et d'autres choses. Mais, tu avais un grade de haute importance et tu avais un talent remarquable. Ton nom te portait bien... Katsuki voulait dire Espoir de la Victoire. Tu avais participé à plusieurs petits combats, le pire que tu avais vécu c'était lors de la dernière déclaration de bataille entre les deux peuples, voilà se qui s'est passé...

« Ey, tu m'écoutes ? Ey KATSUKI ! »

« Hm ? »

« On va leurs réglés leurs comptes à ceux là »

Oui, une guerre commençait entre le peuple du bien et du mal. Mais ceci n'avait pas l'air difficile contre eux, il était à votre hauteur de taille et il avait presque les mêmes armes. Mais, il ne faut pas toujours se fier à leurs physiques te fit comprendre cette journée. Les cris de gloire du peuple voisin se faisait entendre, leurs cris perçant avait presque bouché vos oreilles. Puis, la guerre se lança. Ta soeur était une archer très talentueuse. Elle était disposée loin de cette guerre de corps à corps... avec d'autres comme elle. On pouvait visiblement, voir les flèches du haut du ciel se diriger vers eux. Des flèches silencieuses qui s'abattaient sur plusieurs homme du peuple voisin. Tu avais été touché au bras par la cause d'une épée qui t'avait blessé, pas assez pour t'achever complètement. Tu te lançais comme une brute en transperçant plusieurs corps à la fois. Tu regardas un petit groupe se diriger vers les archés, tu te lanças à la course pour les aidez plusieurs archés se fit abattre d'un coup de lame. Ta soeur qui avait un petit couteau sur elle se battait contre deux hommes à la fois. C'est là que tu décidas de te lançer à leur poursuite te battant contre l'un d'eux. Un attrapa de justesse ta soeur aînée et laissa sa lame de couteau contre son cou après avoir enlever son casque qui lui servait d'armure pour le cou et la tête. Un silence froid transperça ton corps en achevant l'homme, l'autre murmura assez haut pour que tu l'entendes...

« Tu as tué mon frère, alors je vais faire de même... pour ta soeur ? Oui. »

Tu t'attendais au plus pire pour ta soeur en te ruant sur l'homme, mais ce fût une flèche qui passait de quelques centimètres de toi qui transperça l'endroit où le coeur de ta soeur se trouvait. Tu t'accroupis près d'elle, en la voyant s'écrouler contre le sol. Tu te relevas de justesse pour achever l'homme qui t'avait distrait pour que l'archer voisin la tue, tu fendais avec ton épée pour finalement remporter la bataille entre vous deux. Ce fut le dernier jour de la guerre, personne n'avait gagner... mais les morts était plus abondant de votre côté. Tu restais proche de ta soeur qui essayait de chercher sa respiration, mais après une dizaine de minutes. Elle rendit âme, c'est la que tu te promis... d'achever cette saletée de peuple voisin. Maintenant tu vies avec ton comportement rancunier au sain du peuple du bien.

« Soeur, je te promet de te venger... Père aussi... »

Son sang est d'un rouge vif qui vous neutralises le regard, il se souvient de son ancienne guerre. Où son bras était presque qu'ouvert au niveau en bas de l'épaule. Il n'a que ressentit une douleur lorsque qu'il a vue le cadavre de sa soeur, mais il ne vous en dis pas plus. Son armure ? Il ne l'a porte pratiquement jamais, il passe pour un villageois au yeux des inconnus. Mais il est très connu au sain du peuple pour son courage. Mais que bref, il porte souvent un genre de manteau faisant de son âge... Il le porte souvent le manteau est d'un gris fonçé qui est fortement dit proche de la couleur charbon, faite à partir de cuire. Il porte un t-shirt gris pâle, sans tâche et ni d'autre couleur. Son style vestimentaire pour les patalons sont du gris ou du noir. Les autres couleurs ne lui plait pas. Dans son goût alimentaire et vestimentaire, ce jeune adulte est très difficile et ne trouve pas ce qu'il veut exactement.

Physiquement, il est très séduisant quand même. Sa chevelure est d'un noir ébène, après la mort de sa soeur... Il a décidé de s'est faire teindre pour éviter de se souvenir de la couleur de la chevelure de sa soeur. La même que lui. Il ne fait pas du tout plus vieux de son âge avec cette couleur de cheveux, même que ça le rend encore plus beau. Il a un médaillon qui pend dans son cou, il appartenait à sa soeur et avant à son père qui l'a remit à sa fille. C'est un médaillon qui porte chance d'après lui, et il dit qu'il ne reste que ça de sa soeur. Le Nom Shibuya, devient de plus en plus rare et ils ont été connus pour être de braves gens. Reprenons notre sujet de physique, Katsuki a une peau d'une blancheur non explicable, elle change souvent de teint, de bronzé à pâle. Ses yeux sont d'un charmant teint, des yeux marron qui lui rend un grand service. Ses yeux sont magnifiques avec sa chevelure noire. Quelques cicatrices submergent son corps, souvent blessé par quelques mal-attendus au sain du peuple.

D'après l'arbre de génération, il est le dernier Shibuya entre les cinq vivants restant, qui sont... Sa mère, ses grands-parents et sa cousine et son cousin. Le reste, ont soit disparu ou bien ils sont morts... Katsuki se fait souvent surnommer Malédiction par la cause de son agilité en combat. Malgré qu'il soit quand même maigre, mais pas jusqu'à voir ses os. Ce jeune homme est assez musclé, normal s'entrainer chaque jour jusqu'à avoir une très bonne qualitée en combat ou en agilité n'est pas une petite chose. Très connu pour avoir un excellent réflexe, l'achever n'est pas une simple chose. Il peut presque voir derrière lui car il sens une présence quand on est derrière lui... C'est-ce qui l'aide à éviter de se faire blesser le dos. On peut remarquer, qu'il a souvent des bandages aux mains ou aux jambes. Ce n'est pas toujours facile d'accepter les remarques négatives des autres, sur nous...